En effet, la bête est sournoise, on peut ne s'apercevoir de l'ampleur des dégâts qu'après une longue incubation.
A la suite de l'injection du parasite une réaction épidermique apparaît, elle va s'estomper et disparaître. Puis elle va se réveiller et revenir beaucoup plus virulente et dangereuse.
images__2_.jpg Ce n'est pas encore la peste, mais !!!!!

Quand nos élites assourdissantes crient leur foi et leur confiance en l'europe, il faut entendre, des places, toujours plus de places pour caser leurs incompétences et celles de leurs semblables. Mon Dieu délivrez-nous du mal ! Ce fléau qui nous dirige et nous mène à notre perte, comment s'en débarrasser ?
Il est trop tard le mal est là : déjà 55000 fonctionnaires européens, l'incubation continue, combien demain et surtout à quel prix.
Lorsqu'en 2008 Strauss Kahn et puis Christine Lagarde dans des rôles différents annonçaient haut et fort : "le plus gros de la crise est derrière nous" étaient-ils sincères ? Si oui, comment faire confiance à des visionnaires aveugles ? Si non, être élu (élite) pour mieux mentir ?

La noblesse française jusqu'en 1789, ancienne classe élitiste, s'est détruite elle-même en ne voulant pas se réformer et seulement arqueboutée sur ses privilèges. Celle d'aujourd'hui semble se diriger vers la même punition sans ne rien effleurer.

Cette caste, qui ne regarde que son nombril et celui de son sosie, me semble encore plus incompétente que la noblesse d'autrefois.
L'élite est aujourd'hui dans une bulle opaque, elle ne regarde que son semblable, elle est incapable de changer, d'anticiper, de voir.
Dans sa bulle, le monde du pouvoir, de l'argent, des avantages, des compromissions est trop beau pour seulement imaginer autre chose.
Cette tentative de pensée unique, qu'elle soit sociale, religieuse ou philosophique, ne semble servir que l'intérêt de quelques uns et s'apparente à une trahison suicidaire.
Les moutons suivent !

Nous n'avons pas envie de suivre ces fossoyeurs de notre civilisation.

Elites ou pas les cimetières sont pleins d'indispensables aujourd'hui inutiles.

Voir l'excellent article de Hervé Azoulay dans LA TRIBUNE du 31/12/2012.